La Guadeloupe est un village de la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), situé dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. La municipalité est membre de la Fédération des Villages-relais du Québec.
Le village est situé à la limite de trois municipalités régionales de comté (MRC), au Sud-Est de Beauce Sartigan. Autrefois appelé Saint-Évariste-Station, il change de nom en 1949 pour honorer le souvenir de l’apparition de Notre-Dame de Guadelupe au Mexique lors du XVIe siècle.
La Guadeloupe présente plusieurs particularités, notamment un important complexe récréo-touristique, le plus grand manège équestre intérieur du Québec et des usines de transformation de produits d’érable.
Son secteur récréo-touristique comprend un terrain de camping, une piscine extérieure ainsi que différents services, incluant un relais de quad et de motoneige accueillant les utilisateurs des sentiers environnants.
En 2009, La Guadeloupe reçut la visite de l’émission de télévision La Petite Séduction.
Lac-Poulin est un village dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Notre-Dame-des-Pins (autrefois Notre-Dame-de-la-Providence) est une municipalité de paroisse dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Le village est situé à mi-chemin entre Saint-Georges et Beauceville
En 1978 le conseil municipal adopte une résolution demandant un changement de nom pour la municipalité : ainsi Notre-Dame-de-la-Providence devient Notre-Dame-des-Pins. Les 1 500 résidents sont connus comme des notredamoises ou notredamois.
La municipalité est fondée en 1926 et regroupe des terres faisant partie du territoire de Beauceville et de quelques terres faisant partie du territoire de Saint-Georges. Le premier maire de la municipalité est Philippe Thibodeau. La population locale d’alors est principalement des agriculteurs et des travailleurs forestiers.
Le principal motif invoqué par les résidents d’alors est la longue distance à parcourir pour assister aux offices religieux. Les résidents du secteur doivent parcourir une dizaine de kilomètres en voiture à cheval ce qui représente un périple d’un peu plus d’une heure.
Saint-Benoît-Labre est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur de Benoît-Joseph Labre. En outre, il s’y trouve l’abbaye Notre-Dame-du-Bon-Conseil des cisterciens.
Saint-Côme–Linière est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches qui résulte de la fusion en 1994 de la paroisse de Saint-Côme-de-Kennebec et du village de Linière. Elle est nommée en l’honneur de saints Côme et Damien.
La municipalité compte environ 3 300 habitants. Située entre Saint-Georges et la frontière américaine (Jackman, Maine), sur les rives de la Rivière du Loup (Chaudière) sa grand-route est une voie de choix pour les échanges canado-américains.
Les premiers habitants de Saint-Côme–Linière étaient majoritairement Anglais, Irlandais et Écossais et sont venus s’installer le long du chemin Kennebec à partir de 1830. Ce chemin reliait la ville de Québec à Boston et suivait la rivière Chaudière, la Rivière du Loup (Chaudière) et la rivière Kennebec.
À partir de 1844, la mission de Saint-Côme–Linière est desservie par le curé de Saint-Georges.
La paroisse de Saint-Côme fut fondée en 1871 avec l’arrivée de son premier curé résident: l’abbé Joseph-Rémi Desjardins. Le canton de Linière comptait alors 890 habitants. Son église en pierres des champs à trois clochers fut construite sur un monticule qui domine le village en 1891.
La municipalité de canton de Metgermette, qui recouvrait le territoire du canton de Linière fut instituée en 1845 alors que celle du canton de Linière le fut en 1855. La municipalité de la paroisse de Saint-Côme-de-Kennebec fut créée en 1892 et celle du village de Linière s’en sépara en 1912. La municipalité actuelle résulte de la fusion, en 1994, de la paroisse de Saint-Côme-de-Kennebec et du village de Linière.
Les Sœurs de la Charité de Saint-Louis arrivèrent à Saint-Côme–Linière en 1904 et s’installèrent plus tard dans le couvent construit en 1909 où elles dispensèrent l’enseignement jusqu’en 1974. De 1909 à 1967, les classes comptèrent de nombreux pensionnaires dont certains venaient des États-Unis. En 1979, la congrégation a transformé l’édifice en un carrefour de pastorale: le Centre Molé.
Le village fut presque entièrement détruit lors d’une terrible conflagration survenue le 4 août 1926. 114 bâtiments furent détruits en l’espace de quelques heures par une journée de fort vent. Dans le village, seuls l’église, le presbytère, le couvent et dix maisons furent épargnées. Cet incendie a causé 600 000 $ de pertes. Un circuit historique commenté nous rappelle depuis 2006 cet événement sur la rue Principale.
Dans la première moitié du xxe siècle, la présence de réserves forestières des compagnies Breakey et Brown a limité, à une certaine époque, l’expansion territoriale de la municipalité. Enfin, en 1890, en décidant de joindre Jackman par Lac-Mégantic et non par Saint-Côme–Linière, la compagnie de chemin de fer Québec Central entravait son développement et celui de la Beauce. Par contre, la proximité des chantiers américains et la drave qui s’effectua longtemps sur la rivière du Loup (Chaudière) engendrèrent un va-et-vient favorable au commerce.
Aujourd’hui, Saint-Côme–Linière compte de nombreuses petites et moyennes entreprises dans son parc industriel ainsi que quelques commerces de proximité.
Saint-Éphrem-de-Beauce est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur d’Éphrem le Syrien.
La municipalité de Saint-Éphrem-de-Beauce trouve au sud-ouest de Saint-Georges, sur les rives de la rivière Hamel. La superficie de la municipalité est d’environ 120 kilomètres carrés.
Saint-Gédéon-de-Beauce est une municipalité située dans la MRC de Beauce-Sartigan, dans la Chaudière-Appalaches, au Québec, au Canada1. Elle est située sur la rive est (droite) de la rivière Chaudière. Elle est nommée en l’honneur du juge biblique Gédéon. Géographiquement, la municipalité est située dans le sud-est du Québec, assez près de la frontière américaine (État du Maine).
Saint-Gédéon est un démembrement du village voisin, Saint-Martin. Des colons sont venus s’établir des municipalités voisines à partir de 1869: Saint-Martin, Saint-Georges, Saint-Honoré de Shenley, Saint-Benoît et Saint-François (Beauceville). La première messe a été célébrée en 1890, ce qui constitue la fondation de la “Mission Saint-Gédéon”. À l’entrée nord du village, une réplique de la première chapelle-école commémore cet événement.
Saint-Georges est une ville québécoise qui fait partie de la municipalité régionale de comté (MRC) de Beauce-Sartigan dans le Sud du Québec dont elle est le chef-lieu. Située dans la vallée de la rivière Chaudière en Beauce, cette ville, de la région de Chaudière-Appalaches, est la plus grande municipalité beauceronne et un centre économique régional important. Saint-Georges se trouve d’ailleurs dans un axe routier important qui relie la ville de Québec avec l’État du Maine. Avec plus de 30 000 habitants, Saint-Georges est la plus grande ville de la Beauce ainsi que la deuxième ville en importance après Lévis dans la région de Chaudière-Appalaches.
L’histoire georgienne commence avec des Algonquins francophones et catholiques qui s’installent aux abords de la rivière Famine et fondent le village de Sartigan, qui est aujourd’hui le secteur de l’ancienne gare de Saint-Georges, et cela aux environs de 1679. Au début du xviiie siècle, les deux seigneuries situées sur le site de la future ville de Saint-Georges, les seigneuries Aubin-De L’Isle et Aubert-Gallion, sont concédées respectivement à Nicolas-Gabriel Aubin De L’Isle et Marie-Thérèse de Lalande-Gayon3. En 1856, la paroisse de Saint-Georges est créée. Par contre, la ville actuelle est née en 2001 par la fusion de la ville de Saint-Georges, de la municipalité d’Aubert-Gallion et des municipalités de paroisse de Saint-Georges-Est et de Saint-Jean-de-la-Lande.
Les amérindiens et le régime seigneurial
L’histoire de Saint-Georges remonte au début de la Beauce soit vers la fin du xviie siècle; les premiers habitants de Saint-Georges étaient alors principalement des Amérindiens vivant dans la région. Le premier Européen à parcourir la Beauce est le père Gabriel Druillettes, jésuite et missionnaire. Il fait trois voyages : en 1646, en 1650 et finalement en 1651. Cependant, aucun établissement colonial n’est créé à la suite de ses voyages, il faut attendre près d’un siècle avant qu’une véritable communauté ne soit créée alors que deux seigneuries sont établies sur le territoire actuel de Saint-Georges : Aubin-de-l’Isle et Aubert-Gallion. En 1760, la seigneurie Aubert-Gallion passe aux mains de Marie-Anne Josephte de l’Estrigant de St-Martin et à sa fille Charlotte-Marie-Anne-Joseph Aubert de la Chesnaye. Les deux seigneuresses vendent la seigneurie, en 1768, à William Grant, un Anglais qui cherchait à devenir un grand propriétaire au Canada. Il meurt en 1807 et la vente de la seigneurie a lieu en 1808. C’est alors l’Allemand Johann Georg Pfotzer, considéré comme le véritable fondateur de Saint-Georges, qui achète la seigneurie. En 1835, l’érection canonique de la paroisse catholique a lieu puis, en 1856, c’est la paroisse qui est érigée civilement.
Saint-Hilaire-de-Dorset est une municipalité de paroisse dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur d’Hilaire de Poitiers et du comté de Dorset en Angleterre.
Saint-Honoré-de-Shenley est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de la Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur d’Honoré d’Amiens et de l’abbé Honoré Desruisseaux.
Située à moins de 20 minutes de Saint-Georges (Beauce-Sud), sur la route 269 entre les municipalités de Saint-Martin et La Guadeloupe, la municipalité de Saint-Honoré-de-Shenley a vu le jour en 1854 dans ce qui est aujourd’hui le rang 10. Cependant, la Corporation municipale du canton de Shenley est datée du 15 mars 1873.
Saint-Martin est une municipalité de paroisse du Québec située dans la MRC de Beauce-Sartigan dans la Chaudière-Appalaches.
Saint-Martin, sur les bords de la rivière Chaudière, est à 19 km au sud de Saint-Georges. Elle est traversée par les routes 204 et 269.
La Commission de toponymie poursuit : « Venus de la Touffe-de-Pins, qui allait devenir Notre-Dame-des-Pins, les premiers Martinois fondent la mission des Grandes-Coudées ou de la Grande-Coudée, appellation tirée d’un cours d’eau. La présence de longs méandres épousant la forme de grands coudes sur le cours d’eau où s’installent les premiers colons en 1860 a valu aux lieux cette dénomination originelle largement répandue dans la correspondance ecclésiastique du milieu du xixe siècle. Par la suite, on met sur pied la paroisse de Saint-Martin-de-Tours ou Saint-Martin-de-la-Beauce, comme on la dénommait couramment, à compter de 1882. Érigée canoniquement en 1910 et civilement en 1911, elle allait donner son nom, sous une forme abrégée, à la municipalité de paroisse créée en 1912. »
Saint-Philibert est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur de Philibert de Tournus.
Le 14 février 2009, l’église construite en 1919 fut la proie d’un incendie criminel à la suite du cambriolage des objets sacrés. Un suspect fut arrêté le soir même.
Saint-René est une municipalité de paroisse dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l’honneur de René Goupil, martyr canadien canonisé en 1930.
Saint-Simon-les-Mines est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches.
1er juin 1950 : Érection de la municipalité de Saint-Simon-les-mines.
15 mars 1969 : La municipalité de Saint-Simon-les-mines devient la municipalité de Saint-Simon-les-Mines.
Saint-Théophile est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de Beauce-Sartigan au Québec (Canada), située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches1. Elle est nommée en l’honneur de l’abbé Théophile Montminy.
13 juillet 1894 : Érection de la paroisse de Saint-Théophile de Beauce.
1er janvier 1957 : Érection du village de Saint-Théophile de la scission de la paroisse.
15 mars 1969 : La paroisse de Saint-Théophile de Beauce devient la paroisse de Saint-Théophile-de-Beauce.
28 juin 1975 : Fusion de la paroisse de Saint-Théophile-de-Beauce et du village de Saint-Théophile pour former la municipalité de Saint-Théophile.
Beauce Sartigan La MRC de Beauce-Sartigan se situe à l’extrémité sud de la région de la Chaudière-Appalaches, tout près de la frontière canado-américaine (État du Maine). D’une superficie de 2 013 km2, la MRC compte 53 633 habitants et englobe seize municipalités, dont la ville de Saint-Georges qui constitue le pôle régional.
Beauce Sartigan La MRC de Beauce-Sartigan se situe à l’extrémité sud de la région de la Chaudière-Appalaches, tout près de la frontière canado-américaine (État du Maine). D’une superficie de 2 013 km2, la MRC compte 53 633 habitants et englobe seize municipalités, dont la ville de Saint-Georges qui constitue le pôle régional.